La pensée du jour
C’est cela vivre… Ça se résume à cela finalement : faire quelque chose de ce qui nous arrive… sinon on reste là au bord du chemin, comme une bête apeurée.
Lionel Duroy

L’humeur du jour
Paresse de fin d’année « oblige », ou plutôt « permet », un billet de pseudo-feignasse…

Que me restera-t-il de 2013 ?
Une ambiance d’une lourdeur incommensurable au bureau, induisant l’obligation de me demander ce que je fais dans cette nasse, si j’ai envie d’y rester… Devoir admettre qu’être Zorro a un prix trop élevé pour ma bourse mais que résister est à la portée de toute volonté, dont la mienne.
Et résister.

Des nouvelles rencontres.
Certaines qu’il vaut mieux oublier, d’autres à cultiver.
Ignorer les cons, les petits, les mesquins de la vie, ne pas leur donner de l’importance en leur en accordant une once.
Privilégier ceux qui n’ont pas de « hidden agenda », d’intentions cachées, qui ne trichent pas, qui ne mentent pas, qui ne jouent pas.
Ma vie n’est pas un jeu.

Les vacances, c’est bien. Ça permet de faire le point,  séparer l’envie du besoin, l’important de l’essentiel, de prendre du recul,
et d’envisager une infinité de possibles.

Un seul mariage et quatre enterrements. L’aléatoire et le précieux de la vie. Dont la mienne.
Statistiquement, j’en suis à la moitié.
Que vais-je savoir en faire ?

Des plaisirs et du bonheur.
De la fatigue et des larmes.
Beaucoup de questions et quelques réponses.
Lutter plutôt que subir.
Savoir dire non à ce(ux) qui ne respecte(nt) pas mes valeurs.
Apprendre, grandir chaque jour encore.
Mais ça, ça sera valable aussi en 2014.

Le cadeau du jour