La pensée du jour
La mort, c’est un peu comme une connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu’il est mort.
Le con, c’est pareil.
Philippe Geluck
L’humeur du moment
Deux passages obligés dans la vie de tout un chacun : La naissance et la mort.
Peu importent le lieu, la culture, le milieu social, le décorum le pays, les processus sont identiques.
On vient au monde, on s’incarne. On respire.
On rend son dernier soupir, on se désincarne. On expire.
Et entre les deux, on s’attache à vivre.
Ou à durer, c’est selon…
Je me suis toujours étonnée que l’on apprenne à lire, à compter, à parler (pas à communiquer, hélas) mais pas à vivre – tout le monde aura compris que je ne parle pas du trio respirer/manger/se vidanger.
Bien sûr, il y a les parents, les livres, les « role models », l’école ou les institutions. Je ne pense pas toutefois que cela soit suffisant.
Comment « vivre heureux en attendant la mort » , pour citer Desproges? Comment faire pour donner sa juste valeur à la moindre minute de notre vie ? Quelle méthode, quelle formule pour être « dans la vie » vraiment et non juste dans une simple survie quotidienne ?
L’annonce d’un décès (le notre ou celui d’un proche) à venir est parfois libérateur – de mots, d’émotions, d’envies étouffées…
Je trouve cela tellement dommage.
Pourquoi n’avons nous pas la faculté de vivre chaque instant comme s’il était le dernier ?
Quel hymne à la vie ce serait !
Le cadeau du jour
Qui parle de mort parle d’Ange, my Lion-Tso sleeps tonight
tout ce que tu dis la Pooky est tellement vrai,
il devrait peut être nous enseigner ça! parce qu’on passe souvent à côté de plein de choses à ne pas vivre sa vie
Eui. Et qu’y a t’il alors de « pire » que des regrets?
Viser toujours l’essentiel
Mais est ce facile tous les jours ?
J’en doute
non, mais essayer, ça vaut le coup !
la mort est une maladie incurable…
Tout à fait mon Duss!!
Un bien beau passage accompagné d’une belle réflexion pour qui la photo du Tso est très appropriée.
Tso for ever